Be like drugs, let them die for you

Citation :: ❝ SIWARD DAVID GALANT
I love sarcastic people with high vocabularies
credits © kyhuptumblr.

PRENOM(S) NOMSiward comme ce péquenaud sorti d'un bouquin shakespearien que sa romantique de mère a un jour fait l'erreur de lire. Le pire ? C'est que ça n'est même pas le matricule d'un personnage clé. David comme son arrière arrière arrière quelque chose. Galant - les français rient en le prononçant. Il a tôt fait de comprendre pourquoi. On peut dire que son nom n'est pas en adéquation avec ses facultés sociales . AGE il est entré en phase de flirt intensif avec la trentaine depuis quelques temps. Plus que six mois avant de passer la barre tragique - 29 ans sur le papierDATE ET LIEU DE NAISSANCE indéterminé - à part sur le papier, de toute évidence. Ne fête pas vraiment ses anniversaires. Tout ce que ses amis savent c'est qu'il est né en été dans les environs d'Aout NATIONALITE Américain - dira-t-il, un énorme sourire aux lèvres. Origines irlandaises, françaises bâtardes STATUT CIVILUn peu toujours embarqué dans des plans foireux. Il a la maladresse des mots bourreaux. La malchance d'avoir une personnalité qui attire les psychobitch. Célibataire les trois quarts du temps - le reste, il le passe à haïr éperdument sa dernière ex en date ( qui sans surprise était la reine incontestée des salopes et la plus longue relation qu'il ait eu jusqu'à ce jour - une malédiction et un record) ETUDES/METIER(s) Sous ses allures de bûcheron se cache un ancien avocat ( il n'a exercé en tout et pour tout que trois ans avant de se recycler en treader puis en business man) qui aujourd'hui officie en tant que conseiller conjugal/juridique (médiateur à deux balles) - une blague phénoménale compte tenue de ses difficultés impressionnantes à rester en couple TRAITS DE CARACTERE Siward ou la volonté de sauver -ou du moins protéger quelques instants- la veuve et l'orphelin. De toute façon, il est forgé de valeurs aujourd'hui dépassées qui en font un véritable homme d'honneur. Un peu et il sortirait les poings pour casser la gueule de quiconque oserait s'attaquer à une donzelle ou à un gosse. Oui, il abhorre l'idée qu'on puisse s'en prendre aux plus faibles. Celui qui a un jour décrété que Siward était un individu plein d'humour doit certainement faire parti de son fanclub attitré - c'est que les blagues de ce dernier trouvent rarement bon public puisqu'il tape davantage dans le jeu de mot pourri et l'humour noir mais d'un noir - Sarcastique : " Non, madame puisqu'actuellement c'est un hologramme qui vous parle depuis Katmandou" Puis, il est un brin rancunier, Siward. Un brin pour ne pas dire énormément. Voyez, il supporte difficilement les coups bas. Aussi, son seuil de tolérance est généralement du même acabit, bas, trèeeeeeeees bas - Sociable une qualité qui prévaut dans le milieu dans lequel il évolue si prestement - Un brin grossier rien à en dire, c'est un homme, après tout- Un brin vulgaire lorsque l'alcool domine, voyez ? - Adepte de la secte très sélective : " Amoureux de l'esprit de contradiction" - Impulsif - Plutôt diplomate quand il le veut , ce, rarement Au final, la grande majorité s'accordera pour dire que c'est un phénomène chimère à 80 % connard, 5 % gendre idéal, 10 % Homme des cavernes, 5 % Indéterminé.AVATAR Greyston HoltGROUPE
FAMILY MATTERS

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(do you want to build a snowman?)
▷ AVEC TES VOISINS : GRANDE HISTOIRE D'AMOUR OU ENNEMIS JURES?
Ne lui posez pas la question fâcheuse. Son ex est une de ses voisines. Aussi, il se peut qu’il perde toute objectivité concernant ce genre de spécimen. Savez, les « voisins ». Heureusement pour lui, ses horaires plutôt extravagantes lui permettent de palier les phases « Bonjour, voisins d’amour » et passer directement à la partie : « Ah bon ? Ils ont déménagé ? ». Il n’est pas du genre à accueillir les nouveaux venus, il se gardera de faire partie du comité de bienvenue en revanche, il est plutôt serviable. Il ne refusera jamais de déboucher une canalisation (pas tendancieux du tout) ou remplacer des fusibles. Toutefois, il vaut mieux attendre une heure correcte pour lui demander un service. Faut pas abuser non plus. D'ailleurs, il n'accepte de venir en aide qu'aux viocs, les autres n'ont qu'à faire copain/copine avec l'annuaire.

▷ EN SOMME, QUE PENSES-TU DE WOODLEY MILLS?
« Woodley Mills c’est un peu un trou chaud et confortable » – comme dirait cet espèce de macaque qui lui sert de frangin. Siward y a presque toujours vécu – en ne comptant pas sa période de Preppy New Yorkais et sa période artiste vraiment incompris au talent limité de petit bobo parisien. Enfin bref. Vous l’aurez compris, Woodley Mills il s’y sent bien. S’en tamponne pas mal la plupart du temps. N’y pense même pas puisque c’est devenu une petite extension de sa bulle de confort. Merveilleux, n’est-ce pas ? Ça change votre vie.

(the heart on your sleeve)
Critiquer est un verbe qu’il s’approprie. Il y va toujours de son petit commentaire. Sa franchise lui vaut pas mal de griefs. Il répondra que c’est la vie. On ne peut pas plaire à tout le monde. Que les goûts et les couleurs ne se discutent pas. Qu’il n’est pas obligé de suivre la grande masse, constituée d’individus pigeons prêts à tout pour n’être que des pâles copies de. De qui ? Bonne question. Soyez surs qu’il est capable d’être particulièrement virulent lorsqu’il s’agit de donner son avis. D’autant plus lorsqu’il est rémunéré pour cela. + Siward est un grand enfant – oui, oui, caché derrière cette allure virile d’homme de Cro-Magnon, il ne manque jamais de s’extasier lorsqu’il passe dans le rayon sucrerie d’un magasin, le rayon jeux vidéo, le rayon lingerie ( ça, c’est une autre histoire auréolée d’un peu moins d’innocence) + Il fume. Un travers. Il le sait. Ses journées sont rythmées par cette incandescence longiligne. Clope d’angoisse, clope d’anxiété, clope du matin, clope de la pause-café, clope de la pause déjeuner, clope de la pause « Pause, j’ai droit à une pause après un travail d’esclave », clope de la pause « coup de fil de l’ex petite copine », clope « allô , man ? Comment t’as eu mon numéro ? ». Toutes les heures méritent une petite cigarette, vous ne croyez pas ? + Il est cocacolainoman. C’est étrange comme maladie même si elle prend du temps à être diagnostiquée puisque 99,9% des êtres humains l’ont sans s’en rendre compte. En quoi ça consiste ? Boire beaucoup (trop) de coca-cola. Trop pour la dentition, trop pour la glycémie, trop de trop + Il déteste les costumes, c’est pourquoi il n’en porte presque jamais. Jamais comme dans « jamais sur mon lieu de travail » , d’ailleurs, comme il travaille à son compte – siffle - + Le mariage. Le mot, l’institution. Il en est phobique. Lorsqu’il parle à ses clients, il parle toujours d’union, sans nommer le méchant monstre. Il déteste l’idée qu’on puisse foutre une laisse à quelqu’un, comme ça, comme un rien. « normal quoi » et que ça passe auprès des gens. Oui, il est conseiller conjugal et heureusement qu’il aime son boulot. Il n’est pas là pour glorifier le mariage mais pour « sauver », conserver le côté sacré. Une ambivalence qu’il a du mal à comprendre. Surement l'expression de son côté romantique non assumé.+ "Salope" c'est ainsi qu'il surnomme amoureusement son ancienne petite copine.

THE BACKSTAGE.
PSEUDO/PRENOM Rokya
AGE j'ai l'âge, apparemment.
COMMENTAIREPerfection en un mot

From the very beginning you are being told to compare yourself with others. This is the greatest disease; it is like a cancer that goes on destroying your very soul because each individual is unique, and comparison is not possible..

(living like there's nothing left to lose)

« Je pense qu’il vaudrait mieux que vous discutiez des raisons qui vous poussent à vouloir dissoudre votre union » il lance ces paroles avec facilité, maestro à qui l’expérience dicte les mots. Putain, sérieusement, ces deux pauvres cons ont l’air de se manquer. Pourtant, ils sont là, à s’envoyer des frappes verbales en tentant vainement de berner le conseiller conjugal qu’il est – il est diplômé quand même, peut-être devraient-ils accordés du crédit aux papiers joliment encadrés qu’ils ont la possibilité de contempler à loisir, sur le mur derrière lui ? – « Ronald a, certes, été surpris en plein flirt mais, vous, Lydia, n’êtes certainement pas dépourvue de travers, surtout lorsque l’on peut constater combien la nature a été généreuse avec vous » - compliment à arrière-goût d’insulte. Madame a certainement une carte d’abonnement à la clinique de chirurgie esthétique du coin. Les deux jumeaux douillets qui lui servent de « seins » doivent assurément attirer l’attention masculine. Siward a le sourire aux lèvres qui s’étend pernicieusement dès lors qu’il intercepte le regard réprobateur dudit « mari ». Ronald est jaloux, Lydia glousse. Homme fortuné et femme trophée se font la drague silencieusement. Ils ont les mirettes qui miroitent – surement sont-ils là, à se souvenir de leur rencontre et bla-bla-bla. Monsieur Galant renverse la tête sur son siège, plutôt fier de ses accomplissements. Un mois auparavant, il était impossible de réunir ces deux chieurs dans la même pièce sans qu’il n’y en ait un qui finisse chez le psychothérapeute. Les voici à « se faire avoir en beauté » par les sentiments toujours présents. Des fions, tout simplement. « Je vais vous laissez réfléchir, si vous avez besoin de moi, je me trouve dans la pièce d’à côté » - il se lève, poli à l’excès, referme la porte derrière lui et somme sa secrétaire – ancienne militaire – de veiller à ne laisser entrer personne. La météo annonce des réconciliations à température tropicales, voyez.

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« La salope » crache-t-il, laissant son regard se poser de l’autre côté de la rue, là où elle habite ladite salope, en l’occurrence. Son ex petite amie qui a rompu – ou il a rompu ? Un point qui demeure à l’heure actuelle encore trop obscur- semble avoir décidé de fréquenter d’autres hommes. D’autres péquenauds sortis tout droit de péquenaud-land qui ont l’air d’avoir des montagnes de fric et des montagnes de costumes trois pièces siglés à l’italienne. Des péquenauds scandaleusement riches et insipides. Alors, c’est pour ce genre de spécimen qu’elle a pris la poudre d’escampette ? Fielleux, il décide de larguer sa tasse de café, le bouquin merdique qu’il s’apprêtait à lire et traverse en trombe le lopin de macadam qui le sépare de sa « salope » et de son futur ancien prétendant ( il s’en fait la promesse). Après tout, il est hors de question qu’elle agite son nouveau joujou sous son regard alors qu’il garde un goût d’pas fini de cette maudite histoire. Ils se sont disputés, il ne se souvient plus des termes. Ou peut-être est-il en plein déni ? C’est que les parents de la demoiselle n’ont pas vraiment reconnu en Siward le gendre idéal tout comme il n’a pas reconnu en elle la gonzesse capable de le foutre en laisse. Il a toujours été indépendant. Il la pensait indépendante jusqu’à ce qu’elle se mette à lui parler maria…union. Quelle opportuniste – enrage-t-il, poussant la sonnette. C’est tout souriant qu’il lui fait face lorsque la porte s’ouvre sur une « salope » décoiffée : « Je ne te dérange pas, j’espère ? J’étais sur le point de me préparer un wok » bien sûr, bien sûr : « quand je me suis souvenu que c’est toi qui a mon poêle » - prends-toi ça dans les dents. Il pose l'avant-bras sur le cadre de cette foutue porte tout en cherchant à fureter. Sérieux ? Elle le remplace par ce merdeux ? Elle ne paie rien pour attendre.

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« Maman se plaint de ne pas te voir assez » drôle de formulation, pense-t-il, grimaçant : « Man’ n’a qu’à venir plus souvent » lance-t-il, attrapant une canette de bière, balançant une à son frère : « Elle aimerait que tu viennes plus souvent » qu’il lui rétorque, décapsulant la bière tandis que le mélodieux « pshit » retentit. C’est quoi cette obsession malsaine qu’à sa mère d’exiger qu’il soit toujours dans les environs ? Qu’est-ce que c’est que cette propension à envoyer son frangin pour plaider en sa faveur ? « Tu lui diras que tant qu’elle me rabâche sans arrêt qu’il est temps que j’me foute la corde au cou, je ne poserai pas les pieds dans son royaume. Tu sais très bien que la maison est un terrain miné où je n’ai pas l’avantage. Comme tu sais très bien que tu n’es qu’un sbire. Tu sais, le genre de dévot exploité qui ne sait pas dire non. Un esclave, un petit chien-chien » - Siward aime bien se la jouer homme-garce lorsque l’occasion lui est donnée. « On n’pourrait pas aborder un sujet plus « masculin » plutôt que parler froufrou, jupon maternel etc ? D’ailleurs, il s’passe quoi dans ton charmant petit foyer, hein ? Carla a mangé le reste d’tes couilles ?» - il demande ça, un sourire railleur aux lèvres. Son petit frère est casé depuis cinq ans, père d’une petite fille et mari sous-contrôle d’une vipère aspic qu’il idolâtre à outrance (et qui, au passage, déteste Siward , le fuyant comme la peste bubonique) : « LA FERME » qu’il glapit balançant à son grand frère quelques cacahuètes ( comme à un grand singe).

Bienvenue

Je connais pas du tout l'avatar mais il a l'air sympathique Be like drugs, let them die for you 3477664024

NIAAAAAAAAAAH. GREYSTON + UN DE MES AVATARS. Be like drugs, let them die for you 1642536279

Bienvenue, bienvenue. Be like drugs, let them die for you 531090586

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Invité

Bienvenue parmi nous Be like drugs, let them die for you 2042724261

Bienvenue parmi nous I love you

j'adhère au choix d'avatar ! Be like drugs, let them die for you 2434070558

Bienvenue, très original le choix Be like drugs, let them die for you 1876325272

Greyston.

Be like drugs, let them die for you 674692195

Je l'aime de plus en plus dans Bitten. Be like drugs, let them die for you 1700190825

Bienvenue à toi. I love you

Bienvenue ici I love you

Bienvenue parmi nous. I love you

Merci beaucoup pour cet accueil
Pareillement, je trouve qu'il est de plus en plus supportable dans Bitten malgré un côté très très "collant"

Freckles sloth, tes avatars sont parfaits un point c'est tout

vous êtes géniaux

Ton personnage à l'air trop cool Be like drugs, let them die for you 386842303

Je ne connais pas Greyston mais il est pas mal!! Be like drugs, let them die for you 3623206524

Bienvenue et bon courage.

Merci, le tien aussi, pour le coup ( bah oui, je suis allée lire la fiche )

Freya est magnifique , très bon choix

Je ne le connais pas non plus mais il est vraiment canon, bienvenue Be like drugs, let them die for you 1876325272

ton personnage est super intéressant Be like drugs, let them die for you 2356553981

je valide et bon jeu parmi nous. I love you