Alden ♠ it's were my demons hide

Citation :: ❝ ALDEN BAKOWSKI
Welcome to the new age
lyrics (c) imagine dragons, gif (c) fuckyeahclaflin

PRENOMS NOM Son nom de famille, Bakowski, traduit assez bien les origines polonaises de son grand-père paternel, même si certains de ses professeurs l'ont écorché pendant ses années d'étudiant. Ses deux prénoms, Alden et Lennox, ont une consonance bien plus anglaise, bien qu'ils soient plutôt rares. Il en apprécie l'originalité. AGE Il a vingt-six ans, mais s'approche des vingt-sept. Si vous lui demandez directement, il est capable de vous répondre qu'il en a 22 ou 30. L'âge n'a pas d'importance pour lui, et il se fiche de se rapprocher de la trentaine sans avoir accompli "de grandes choses". DATE ET LIEU DE NAISSANCE Il a vu le jour à la fin de l'été, le 31 août 1987, à Woodley Mills même. NATIONALITE Bien qu'il ait des origines polonaises, il est à 100% américain. STATUT CIVIL Célibataire qui a du mal à se poser. ETUDES/MÉTIER(s) Il a passé quatre années à étudier les langues étrangères à New York, avant de partir faire le tour du monde pendant presque deux ans et demi. Depuis qu'il est de retour à Woodley Mills, il enchaîne les petits boulots car il a du mal à se poser réellement. Il ne rêve que de repartir à l'autre bout du monde. TRAITS DE CARACTÈRE Alden pourrait en énerver plus d'un avec sa manie de ne jamais pouvoir rester en place très longtemps. Même assis, il ne peut s'empêcher de jouer avec sa montre ou avec un stylo. Il est devenu sportif pour compenser ce besoin de constamment s'occuper : il court deux à trois fois par semaine, joue au basket, fait du vélo, du hockey en hiver. Il a déjà touché à pas mal de sports. Il est aussi impatient et a du mal ne pas obtenir ce qu'il veut tout de suite. Il n'a jamais aimé la routine et n'a pas peu de la nouveauté. Il est audacieux, limite casse-cou. Grand curieux, il n'a pas pu s'empêcher de s’offrir un tour du monde à la fin de ses études, tout en continuant à travailler comme serveur tout en jouant les touristes. Il est très têtu, et le faire changer d'avis est très compliqué. Ça en fait un peu quelqu'un d'irresponsable, à qui faire confiance n'est pas toujours évident. Pourtant, il es quelqu'un de solide sur qui on peut compter. Avec les femmes, il est tout aussi inconstant : un coup charmeur et un coup blasé. Il n'a jamais eu de relations longues, mais il n'est pas un goujat et n'a jamais trompé aucune femme. Il se dit qu'il n'a pas encore trouvé la bonne, celle qui arrivera à lui fournir suffisamment d'attaches pour qu'il puisse rester sur place. AVATAR Sam Claflin GROUPE Tightrope's skills

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(do you want to build a snowman?)
▷ AVEC TES VOISINS : GRANDE HISTOIRE D'AMOUR OU ENNEMIS JURES?
Tant que leurs chiens n’aboient pas à cinq heures du matin ou que leurs enfants ne pleurent pas toute la journée, je n'ai aucun problème avec mes voisins. Certains sont plus sympa que d''autres alors que je me contente uniquement de saluer les autres quand je les croise dans les escaliers. Ma chouchoute, c'est ma petite voisine d'en face. Je pense qu'ils me voient d'une manière similaire, je ne pense pas être chiant. Oui, il y a de temps en temps des soirées chez moi, mais j'essaye de garder le volume sonore à un niveau acceptable. Même si j'aimerai monter le volume de ma sono un peu plus fort de temps en temps.

▷ EN SOMME, QUE PENSES-TU DE WOODLEY MILLS?
Je suis né dans cette ville, j'y ai grandi et j'en ai fait le tour. A dix-huit ans, je m'y ennuyais ferme malgré mes amis. Ce n'est pas pour rien que je suis parti étudier à New York, ne rentrant ici que pour les vacances scolaires. J'y suis de retour depuis un an et demi, pas vraiment par choix mais par nécessité, mon compte en banque n'étant pas sans fond. Et je pense toujours que je tourne en rond ici, j'ai envie de repartir vers de nouveaux horizons. En même temps, elle n'est pas si mal cette petite ville quand on y réfléchit bien : il y a une bonne ambiance et tout ce qu'il faut pour y vivre. Le fait de la connaître par cœur pourrait presque passer pour un avantage.

(the heart on your sleeve)
(-) Il a horreur de se lever le matin, il lui faut au moins snoozer son réveil trois fois avant qu'il n'émerge de son lit. Et ce n'est qu'avec une douche bien chaude qu'il arrive doucement à se réveiller. Il a tendance à arriver en retard à son travail à cause de ce travers. (-) Il boit autant de café que de thé, tant qu'ils sont bien sucrés. (-) Il a appris à cuisiner des plats de toutes origines grâce à ses voyages, et sans être un cordon bleu, il se débrouille plutôt pas mal dans une cuisine. (-) Il ne se voyait pas habiter seul à son retour en ville, ayant trop l'habitude d'avoir été toujours entouré quand il jouait les touristes. Il habite donc en colocation depuis un an et demi. Une colocation idéale comme dans les séries. (-) Il n'a pas de bac à légumes dans son frigidaire, mais un bac à bières. (-) Grand sportif, il court au moins deux fois par semaine. Mais ne s'est encore jamais inscrit à aucune compétition officielle. Il fait aussi du basket-ball avec ses amis le week-end, quelques petits matches amicaux sur le terrain de leur ancien lycée. (-) Ce n'est pas un grand fan de dessert. (-) Il a choisit d’étudier les langues vivantes à l'université par défaut. Il serait parti à la fin de sa terminale s'il avait pu mais ses parents voulaient qu'il soit diplômé "au cas où". Finalement, ses études ne lui servent pas à grand chose puisqu'il travaille essentiellement comme serveur ou livreur. Mais elles lui ont permis de se faire comprendre dans de nombreux pays. En plus de l'anglais, sa langue maternelle, et du polonais, celle de son grand-mère, il parle couramment le français et l'espagnol. Il se débrouille en portugais, en chinois, en russe et en allemand.

THE BACKSTAGE.
PSEUDO/PRENOM Alexine Alden ♠ it's were my demons hide 1479644599

AGE majeure et vaccinée Alden ♠ it's were my demons hide 674692195

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(living like there's nothing left to lose)

Parfois, Alden se demandait s’il était vraiment comme tous les jeunes adultes de son âge. Alors qu’à l’approche de la trentaine, la plupart de ses amis d’enfance avaient une situation professionnelle, voire une vie privée, stable, rêvaient parfois de mariage ou d’enfant, lui avait encore l’impression qu’il venait de juste sortir de l’adolescence. La vie professionnelle stable ? Il en était loin. Depuis qu’il avait pris son dernier avion pour quitter l’Australie et revenir dans sa ville natale, il n’avait fait qu’enchainer les petits boulots, côtoyant plus de jeunes de 18 ans que de trentenaires. Il avait été livreur, serveur, facteur, vendeur dans des boutiques variées, mais son manque d’implication et ses retards fréquents l’ont plus d’une fois fait renvoyer. Chaque fois, le même verdict : « Grandissez donc un peu Mr. Bakowski, vous ne pourrez jamais garder un travail, aussi simple soit-il, avec une attitude pareille ! ». Ce n’était que grâce à la gentillesse de l’un de ses deux cousins, Jay, qu’Alden avait un nouveau job qui lui permettait de payer son loyer. Quant à sa vie privée, elle n’en était pas moins désastreuse. Quand il était adolescent, son côté populaire et sportif attirait bien des filles à ses côtés, mais il se trouvait trop jeune pour rester longtemps avec quelqu’un, se marier avec un amour de jeunesse était bien trop cliché et vieux-jeu pour lui. Lorsqu’il était à New York, il préférait faire la fête et profiter de la vie étudiante sur place. Pendant ses séjours à l’étranger, il avait enchaîné les petites aventures d’une ou de plusieurs nuits, ne s’attachant jamais, puisqu’il savait qu’un mois plus tard, il serait surement ailleurs. Il y avait eu quelques Anna, et Béa en Allemagne, quelques anglaises plutôt dévergondées, de sublimes italiennes aux habitudes plutôt originales, Mika la japonais, farouche mais si mignonne, et une bonne dizaine d'Autraliennes. Entre autres. Au final, il n’était jamais resté avec une fille plus de quelques mois. Voir ses amis se caser ne lui était pas indifférent, mais il ne voulait pas d’une relation juste pour ne plus être seul. La solitude ne lui fait pas peur pour le moment. Et puis qui sait, il sera peut-être à Toronto à la fin de la semaine si l’envie lui prenait de repartir en vadrouille. Mais malgré tous ces défauts et ses envies d’ailleurs, il sait pertinemment au fond de lui qui ne tiendra plus très longtemps s’il continue à brûler la vie par les deux bouts. Il sait qu’il ne pourra pas rester simple serveur toute sa vie et continuer à jouer l’adolescent attardé qui continue à se ficher de tout. Il aimerait faire des efforts, il ne lui manque qu’un stimulant. En parlant de stimulation, sa voisine pourrait bien en faire un fort intéressant. Elle est bien mignonne. Et il ne pouvait décemment pas lui laisser manger des pizzas et de burgers à emporter tous les soirs, elle disait qu’elle ne savait pas cuisiner et que même si elle savait, elle n’aurait pas le temps avec tout le travail qu’il lui restait à faire en rentrant. Il avait pris l'habitude de lui cuisiner des plats tous-prêts qu'il entreposait dans le frigo de la jeune femme. Il avait les clés de chez elle depuis le jour où elle les avait oublié à l'intérieur de son appartement, qu'elle avait du sonner chez son voisin, Alden en l’occurrence, pour qu'il l'héberge le reste de la nuit, avant d'appeler un serrurier à la première heure le lendemain pour pouvoir entrer chez elle. « Ces pâtes sont vraiment délicieuses Alden. Y’a pas à dire, tu sais cuisiner. Tu serais presque bon à marier. » « Presque ? » « Oui parce qu’être encore un simple serveur à ton âge, ça casse tout le charme du personnage. Désolée de te décevoir. » Ah ces working girls, jamais satisfaites ! En attendant de trouver la fille qui arrivera à le faire changer juste avec un sourire, il continuait à être lui-même, et apprécie toujours autant de charmer les jolies clientes qui osent pousser la porte du Black Lion, tout en s’entraînant pour devenir le meilleur joueur de fléchette pendant ses heures de service.