(m) SHILOH FERNANDEZ ▷ tony (au choix).

Tony nom (extrêmement négociable)
credits © fernandeztumblr.
IL FAUT CROIRE QUE C'EST LA SOCIÉTÉ QUI M'A DÉFINITIVEMENT ABÎMÉ.

Age : vingt-huit ans.
Date + lieu de naissance: au choix. Peut-être bien ici (ou si ce n'est pas le cas, je le vois bien venir d'un pays "chaud" : amérique latine, italie, etc. Dans tous les cas, il faut qu'il soit ici depuis plusieurs années, au moins depuis l'âge de dix/onze ans).
Travail: propriétaire d'un night club, proxénète et dealer à ses heures perdus.
Statut social: célibataire, heureusement.
Traits de caractère: Séducteur, impulsif, provocateur, solitaire, colérique, passionné, sournois, charismatique, loyal, courageux, protecteur, rusé, fort, attiré par le pouvoir.
ft : shiloh fernandez reste le choix parfait. Mais si il te sort vraiment par les yeux, je peux te proposer luke grimes, tyler blackburn ou tout autre homme du même genre. Je suis assez difficile.

❖ Autant être sincère, cash, et concis. Après tout, leur relation ne fait pas dans la dentelle, alors pas de blabla entre nous. C'est un voyou, un dealer, un proxénète. Il n'a pas toujours fait les choses qu'il fallait, mais il assume entièrement, et autant être franc jusqu'au bout : il n'a quasiment jamais de remords. Sa conscience s'est peut-être habituée à ses vices. En réalité, il pense avoir raison, c'est pourquoi il n'est pas réellement torturé par sa conscience. Il a sa propre vision de la vie, sa propre perception du monde, ses propres principes. Pour lui, le monde est une jungle, et on essaie d'y vivre comme on peut. Lui, il a décidé d'être un leader, et de profiter de la dépendance que se créé la vermine. Au début, c'était seulement un mauvais garçon. Mais à force de côtoyer les mauvais, il est fini par en devenir un. Comme on dit, on ne peut s'infiltrer dans un nid de vipères à condition de devenir une vipère à son tour. C'est ce qui c'est passé, et Tony s'en est retrouvé changé. Soit dit en passant, "Tony" est sûrement un pseudonyme. Personne ne sait s'il s'agit de son vrai prénom. Le fait qu'on sache son vrai prénom serait comme le mettre à nu, le rendre vulnérable. En parlant de vulnérabilité ... Il a rencontré Jude. Chaque psychopathe doit avoir une muse, n'est ce pas ? Et bien voilà, chose faite. Elle a quelque chose de différent. Adorable femme innocente, et putain séductrice à la fois. D'innocent, et de sexuel, le tout en même temps. Elle est spéciale. Il n'arrive pas à entrer dans sa tête, pourtant, c'est son métier. Elle est fascinante. Il tente de s'en rapprocher et de la manipuler, souhaitant, ainsi, l'embaucher comme danseuse dans son night club, puis petit à petit, la rendre prostituée à son service. La naïveté de la jeune femme lui facilita la tâche, bien plus qu'il ne l'aurait pensé. Il va sans doute tomber dans son propre piège, et s'attacher à la fille qu'il aurait aimé sacrifier à son propre compte et pour son propre confort personnel. A savoir que Tony a attribué le surnom de "Roxan" (prononcée Roxanne) quand il s'agit de son identité de prostituée/danseuse. Pour deux raisons : tout d'abord, parce qu'il attendait d'avoir une favorite pour attribuer ce prénom là (qui est quand même "le" prénom de la prostituée, grâce au groupe "police") ensuite, parce que le prénom signifie l'aube, la signification développée en est : "princesse brillante comme l'aurore". Et ça lui convenait, parce qu'il ne juge que par elle. Poète, qui l'eut cru. (Il peut aussi l'avoir appelé "angel", si vous préférez)

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❖ JUDE DICKINSON (aimee teegarden). Il n'avait pas été difficile de l'approcher. Visiblement, elle n'avait pas conscience du danger. Ça avait été presque facile. Quelques contacts en commun. Puis se faire passer pour le plus doux des agneaux. Il connaissait ce jeu, mais jamais il n'avait autant marché. Les filles étaient plus méfiantes, généralement. Ça prenait du temps. Mais pas avec celle-ci. Il avait presque envie de lui dire "mais bon sang, fuis !". Tragiquement, elle sauta à pieds joints dans le piège qu'il avait lui-même conçu. Ils se rapprochèrent. Il l'isola, et l'éloigna de ses amis, de chaque membre de sa famille. Il n'y en avait plus que pour lui. Il avait déjà usé de ce stratagème avec d'autres, mais avec Jude, ce jeu lui plaisait bien. Il en venait même à apprécier sincèrement être le centre de son univers. Mais forcément, n'est pas voyou qui veut : en quelques mois, il réussit à la faire entrer dans son night club aux allures de cabaret, en tant que danseuse. Et là, la descente aux enfers. Ça en était finit pour elle. Elle était dépendante à lui, il était dépendante à elle. Un voyou de la pire espèce, et une fille aux bonnes intentions mais au caractère difficile et aux mauvaises fréquentations. Il continua son manège et s'accapara sa confiance afin d'arriver au but ultime : la prostitution. Mais de fil en aiguilles, il n'était plus que contradiction. Il adorait cette fille. Il les adorait toutes, en réalité, bien qu'un proxénète ne traite pas toujours ses protégées comme il le devrait (il n'échappait pas à la règle). Mais celle-ci était différente. Il voulait l'offrir à ces messieurs et en retirer les bénéfices, certes, mais en même temps, la voir à l'oeuvre le rendait malade. Il s'agit de sa favorite, elle devait lui appartenir, elle le devait. Et pourtant, elle était là, à danser auprès d'autres hommes. Hommes qu'il avait lui-même contacté, hommes qui pouvaient profiter de la demoiselle grâce à lui. Assez ironique, contradictoire. Par l'intérêt, la fascination et la passion qu'elle lui inspire, Jude le rend encore plus sauvage qu'il ne l'est déjà.

Il est colérique, et montre son véritable visage aujourd'hui, il n'a plus besoin de faire semblant, il lui suffit de faire pression sur elle pour ne pas la voir s'échapper. Et ça marche. Malgré tous les défauts de Tony, et les mauvais traitements qu'elle subit, Jude ne pourra jamais réellement le détester, sans comprendre pourquoi. Elle sait qu'elle le devrait. Et dans le fond, peut-être est ce un peu le cas. La haine est si proche de l'amour, au final. Vous l'aurez donc compris : leur relation va au delà d'une relation basique proxénète/escort-girl. C'est assez complexe. Un mélange d'un tas de choses : une complicité qui ne peut être effacée, une haine, un syndrome de stockholm, de la possession, de la jalousie, une exclusivité voulue mais repoussée, des magouilles, des menaces, une tension sexuelle palpable. Réincarnation de Bonnie and Clyde, en plus trash ?

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