Danaë Wolf
ARRIVEE A WM : 18/04/2014 MESSAGES : 15 PSEUDONYME : hey jude. ♡ STATUS : Libre, mais pas encore suffisamment débarrassée d'une punaise trop collante.
KWAZY CUPCAKES. Multinick: Song/quote: Entourage:
| Sujet: And from your lips she drew the Hallelujah. - dan'. Ven 18 Avr - 2:14 | |
| - Citation :
- ❝ DANAE WOLF.
Bang bang, he shot me down Bang bang, I hit the ground Bang bang, that awful sound Bang bang, my baby shot me down credits © tumblr.
PRENOM(S) NOM Danaë Wolf. Un loup de pureté. AGE Vingt-sept ans, encore toutes ses dents, et pas une cariée. Elle guette les rides, chaque matin dans le miroir, mais pas une n'a encore osé pointer le bout de son nez. Sauf peut-être cette minuscule fossette lorsqu'elle sourit. DATE ET LIEU DE NAISSANCE A Philadelphie, en Pennsylvanie, un certain vingt-huit avril. NATIONALITE Américaine, totalement. Quelques origines françaises, peut-être, qui se devinent à la finesse de ses traits. STATUT CIVIL fraîchement rendue à la liberté que l'exigent ses ailes. Mais encore incapable de voler. ETUDES/METIER(s) A multiples casquettes. Psychologue d'abord, oreille attentive, bouche muette et regard compréhensif. Elle est aussi peintre anonyme à ses heures nocturnes, bien que l'inspiration ai quitté sa demeure dont les murs restent tapissés de ses œuvres. Fille à papa, est-ce un métier ? TRAITS DE CARACTERE Sarcastique, oh combien. Attentionnée et généreuse à ses heures. Intelligente et maligne, parfois. Cynique admirant l'humour noir, l'humour fin, l'humour macabre. Chieuse et capricieuse, toujours. AVATAR La belle Caitlin Stasey. GROUPE Bad tempered meerkat. ✲ ✲ ✲ (do you want to build a snowman?) ▷ AVEC TES VOISINS : GRANDE HISTOIRE D'AMOUR OU ENNEMIS JURES? Votre réponse en un minimum de cinq lignes ici.
▷ EN SOMME, QUE PENSES-TU DE WOODLEY MILLS? Votre réponse en un minimum de cinq lignes ici. (the heart on your sleeve) L'imagination. Les métaphores. Le bruit d'une balançoire et le rire d'un enfant. La peinture et ses significations. Les toiles décorées. La couleur. Le noir. Les cadres dans lesquels elle glisse ses tableaux pour les afficher sur les murs de sa maison. Le vent jouant dans ses cheveux. L'indépendance. Le calme. La solitude. Une conversation qu'on n'écourte pas. La conversation des silences. Le chalet face aux monts enneigés, un livre aux pages jaunies dans les mains et un feu de cheminée pour la réchauffer. La baignade à minuit, les roulades dans le sable fin, l'enfance subtilement retrouvée. L'insouciance. La tendresse mêlée de sauvagerie. Le regard des hommes. La sauvagerie mêlée de tendresse. La lueur d'une bougie à l'odeur de vanille. L'immaturité. Le fantôme d'une mère jamais admirée. Les fêtes foraines au bon goût de barbapapa. Les responsabilités qu'on fuit et celles qu'on affronte. Le mariage preuve d'amour. Le mariage preuve d'éternité. Le mariage preuve de vie. La poésie de Rimbaud, celle de Bishop. "Dans l'art de perdre il n'est pas dur de passer maître." Les vieux films en noir et blanc. Les anthologies, le savoir, la soif de connaissance et la mémoire sélective, sa vieille ennemie. La séduction. Les loups et leur totale indépendance. L'art de plaire. La position en tailleur, clope au bec, le nez dans les étoiles un soir d'été. Les bons mots qui guérissent. Le câlin d'un père aimant. L'imagination. (living like there's nothing left to lose)❝ L'ENFANT. Well there was a time when you let me know What's really going on belowUnderco.❝ LA SOEUR. And it's not a cry that you hear at night It's not somebody who's seen the light It's a cold and it's a broken HallelujahUnderco. ❝ L’AIMÉE. You know, I used to live alone before I knew ya And I've seen your flag on the marble arch And love is not a victory march« Il n'est pas fait pour toi cet homme. Je suis sur qu'il ne veut rien de sérieux, il est trop insouciant et immature, comment veux-tu fonder une famille avec ce gamin ? » Danaë jette un regard noir à son père qui, assis sur son fauteuil en daim, ne cesse de critiquer Siward. Il est imparfait, c'est vrai, immature et insouciant, aussi. Il boit directement au goulot de la bouteille, la réveille en partant travailler, l'agace à mourir lorsqu'il ne baisse pas la cuvette des toilettes. Cela ne l'empêche pas de l'aimer, éperdument, de ressentir ce vide atroce, ce manque sauvage et implacable qui se greffe sur son esprit pour lui interdire la moindre pensée qui ne se nomme pas Siward. Elle l'aime, et cet amour ne lui paraît ni stupide, ni gamin, ni insouciant. Ni futile. « Je sais que tu ne l'aimes pas. » soupire-t-elle pour calmer les fustigations d'un esprit émoustillé. Ce père protecteur veut le meilleur pour sa fille, et sir Galant n'est désespérément pas ce qu'il envisageait. Elle s'en moque, pourtant. Tant que Siward lui apporte cet élan de bonheur qui rend sa vie lumineuse et ses nuits inspirées, ce que lui dit son père ne l'intéresse pas. Elle n'écoute même plus.
Elle le sent distant, désormais. Plus le temps passe, et plus leur rencontre s’espacent. Des baisers froids et perdus dans une intensité de solitude. Ils sont ensemble, et pourtant si seuls. Danaë se souvient bien des raisons de ce changement, et elle fulmine à l'intérieur d'elle même. Et si son père avait raison ? Et s'il avait toujours eu raison ? Siward n'est pas un homme d'avenir, pas un homme du tout : c'est un gamin immature qui se réfugie dans son indépendance pour fuir la peur qui l'étreint dès qu'il songe à la vie. Sa vie. Du haut de sa presque-trentaine, il marque une distance avec la femme qu'il aime parce qu'il craint l'attachement plus encore que les araignées sous son lit. Elle se souvient, oui, de cette matinée nuageuse, de leur nuit passionnée, du réveil doucereux qu'elle avait accompagné d'un petit déjeuner au lit. Puis, entre deux tartines : « Eh chéri, qu'est-ce que tu penses du mariage ? » Le reste lui demeure flou, comme si ses espoirs détruits avaient entraînés à leur suite sa douloureuse mémoire pour la noyer dans un nuage amnésique. Avait-il répondu ? S'était-il enfui comme un lâche, laissant auprès d'elle la fraîcheur d'une abominable solitude et d'un avenir incertain ? Avait-il changé de sujet ? Elle préfère ne pas se souvenir, noyer sa déception dans l'oubli. Tout ce qu'elle sait, désormais, c'est qu'il a alors laissé la distance gangréner leur relation, jusqu'à ce qu'elle implose. Silence. Nul cri, nul pleur, nulle confrontation. Juste quelques soupirs aigris dans la solitude de leur appartement voisin. Et la vie continue.❝ L'ARTISTE. Well I've heard there was a secret chord That David played and it pleased the LordDe grands yeux bruns parcourent la toile de long en large, de gauche à droite, de tous côtés. Partout, il n'y a que du vide. Un blanc éclatant qui semble la narguer de sa pureté. Elle, petite Danaë, artiste peintre maudite qui se réfugie dans la nuit pour cacher sa débâcle. Elle pue la honte. Elle ferme ses yeux de biche qui respirent pourtant la sérénité et la tendresse, alors que son visage, calme et impassible, renvoie un brûlant besoin d'amour et l'innocence d'une poupée. On voit en elle un petit morceau de sucre qu'on peut briser d'une pichenette. Elle a l'air douce. Elle a l'air tendre. Mignonnette. Mauvaise idée. Aaaaaarrrrhf ! Un cri retentit. Un cri sauvage de pure colère brise le silence de cet atelier qui n'en a de caractéristique que le nom. Capharnaüm. Des livres éparpillées sur le sol, jetés violemment par une main féminine en proie à la crise de la panne d'inspiration, l'emprise d'une folie furieuse, violente, insidieuse. Un venin inédit qui se faufile de veine en veine, qui tapisse sa peau, remonte à son cerveau, épuise son imagination, son talent et son don. D'elle, il ne reste qu'une ombre fantomatique tout juste bonne à écouter les plaintes de patients névrosés. Elle est une oreille qui écoute, une bouche qui questionne, un regard qui comprend. Mais sa main demeure inerte. Incapable de représenter la moindre parcelle de vie, la moindre éclaboussure de peinture qui puisse se targuer d'avoir un sens. Par désespoir, la jeune femme laisse tomber négligemment le pinceau qui ne lui a encore été d'aucune utilité. Elle enjambe les feuilles blanches grisées de poussières qui tapissent le sol, évite les livres. Ici une bougie, là des vieux pinceaux usagés, là encore le cactus jaunie dont elle a cessé de s'occuper. Sortir de cet atelier est un enfer jonché d'obstacles, tout comme y entrer. Une torture dénuée de sens. Une vie sans but. Sans alternative. Danaë referme la porte en silence, le feu bouillonnant en elle tamisé par la lumière du jour qui commence à poindre. Quelques heures de repos et elle pourrait endosser son rôle de psy. Tellement moins déprimant... ❝ LA FEMME. You saw her bathing on the roof Her beauty and the moonlight overthrew ya She tied you to her kitchen chair« T'as de beaux yeux tu sais ? » Soupir. Il est beau, mais ses techniques de drague sont d'une platitude sans nom. Ton père, c'est pas un vendeur de biscottes ? Parce que t'es craquante aurait encore été mieux. Pourtant, Danaë sourit à son prétendant, alors qu'elle ferme ses jolis yeux pour un baiser plein d'audace séductrice. Un mois qu'elle n'a pas touché un homme. Une éternité. Elle meurt d'envie. Caresses, délices, extase, soupirs, baisers, folie, effronterie, séduction, passion. Elle envisage chacun de ses termes, les soupèse, les imagine, et déjà elle sent en elle la profondeur de son désir. La main du beau brun se glisse sous son tee-shirt, elle soupire. Troisième rendez-vous. Trois fois que ce bel homme l'épuise de ses paroles tandis qu'il l'émerveille de son charisme. Prête à lui laisser une chance, prête à offrir un espoir à l'un de ses prétendants, prête à tourner la page, peut-être. Prête à... Ding dong. Soupir. Voilà que la sonnette retentit, brisant le tendre et délicat silence emprunt de désir palpable qu'ils avaient enfin réussi à installer. Moulée dans son aguichante robe rouge des grandes occasions, bougies aux quatre coins de la pièce, petite musique d'ambiance. Elle avait tout prévu. « T'y vas pas ? » Elle ne répond pas, s'empare de son visage, le fait taire d'un baiser. Non, la réponse est évidente. Driiiiing. Téléphone. Danaë l'envoie valser de sa main droite, alors que sa main gauche déboutonne un à un les boutons de la chemise du beau brun installé à ses côtés. Elle relève la tête, sourit, ses doigts toujours affairés à la tâche. Ses yeux accrochent la fenêtre ou une tête bien connue joue les voyeurs. Connard. Il a le téléphone dans une main, un sourire sadique juché sur le visage, alors qu'il sonne à nouveau. Ding dong. Dans un grognement rageur, Danaë se lève du canapé, remet sa robe d'aplomb. Il est là, toujours, ce fantôme du passé. Il l’observe, il l'épie, il s'est fait une promesse d'honneur de ne jamais la laisser en paix. Tout droit revenu des Enfers, ce voisin embarrassant, cet ex-jamais-fiancé hante ses jours et ses nuits, lui interdit la vie peu après l'avoir privée de l'amour. Facile. Normal. THE BACKSTAGE. PSEUDO/PRENOM hey jude, Cyrielle de son véritable prénom, vous salue bien bas. AGE Bientôt 20 aaaaans... Laissez-moi mourir. COMMENTAIRE J'vous kife les pingouins. Et Siward, je ferais de ta vie un enfer.
Dernière édition par Danaë Wolf le Mar 22 Avr - 0:55, édité 21 fois | |
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Lyra Cohlens ✩ ask her if she wants to stay awhile
ARRIVEE A WM : 14/04/2014 MESSAGES : 62 PSEUDONYME : Arianne (Drunky Queen) ♡ STATUS : Être célibataire c'est un choix.
KWAZY CUPCAKES. Multinick: Song/quote: bad girls by m.i.a Entourage:
| Sujet: Re: And from your lips she drew the Hallelujah. - dan'. Ven 18 Avr - 2:44 | |
| Caitlin. Cette femme. Bienvenue
Dernière édition par Lyra Cohlens le Ven 18 Avr - 3:12, édité 1 fois | |
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Danaë Wolf
ARRIVEE A WM : 18/04/2014 MESSAGES : 15 PSEUDONYME : hey jude. ♡ STATUS : Libre, mais pas encore suffisamment débarrassée d'une punaise trop collante.
KWAZY CUPCAKES. Multinick: Song/quote: Entourage:
| Sujet: Re: And from your lips she drew the Hallelujah. - dan'. Ven 18 Avr - 4:04 | |
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Jay Bakowski ✯ wandering through life if will love come home to you.
ARRIVEE A WM : 05/08/2013 MESSAGES : 267 PSEUDONYME : soapflakes, minh. ♡ STATUS : love is hard to find.
KWAZY CUPCAKES. Multinick: Song/quote: simply red, sunrise. Entourage:
| Sujet: Re: And from your lips she drew the Hallelujah. - dan'. Ven 18 Avr - 5:50 | |
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Gises Waters ☇ know some day we could find our way.
ARRIVEE A WM : 05/08/2013 MESSAGES : 271 PSEUDONYME : l'oisillon bleu. ♡ STATUS : like in the air, free.
KWAZY CUPCAKES. Multinick: bd. Song/quote: falling slowly - glen hansard. Entourage:
| Sujet: Re: And from your lips she drew the Hallelujah. - dan'. Ven 18 Avr - 7:57 | |
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