✧ then she handed me of a bottle of water filled with tequila

Citation :

   ❝ MOSES WRIGHT.
   Behind every door is a fall, a fall And no one's here to sleep
   credits © phoebetonkin-gifhunter/tumblr.
   

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   PRENOM(S) NOM écrire votre réponse ici. AGE écrire votre réponse ici. DATE ET LIEU DE NAISSANCE écrire votre réponse ici. NATIONALITE écrire votre réponse ici. STATUT CIVIL écrire votre réponse ici. ETUDES/METIER(s) écrire votre réponse ici. TRAITS DE CARACTERE adroite, agressive, attentive, bourrue, brave, brillante, courageuse, curieuse, dynamique, fière, franche, garçon manqué, généreuse, indépendante, intelligente, impatiente, joueuse, minutieuse, naturelle, perspicace. AVATAR écrire votre réponse ici. GROUPE bad tempered meerkat

   
   (do you want to build a snowman?)
   ▷ AVEC TES VOISINS : GRANDE HISTOIRE D'AMOUR OU ENNEMIS JURES?
   Votre réponse en un minimum de cinq lignes ici.

   ▷ EN SOMME, QUE PENSES-TU DE WOODLEY MILLS?  
   Votre réponse en un minimum de cinq lignes ici.

   (the heart on your sleeve)
   Partie complètement facultative. C'est dans cette partie que vous allez décrire ce qui fait que votre personnage est si spécial. Ses tics, tocs, habitudes, ce qu'il aime faire, ce qu'il n'aime pas faire, les plats qu'il déteste ou les aliments auxquels il est allergique, on veut tout savoir ! Vous pouvez la présenter sous forme de listing ou décrire une habitude en profondeur, c'est comme vous le sentez.

   (living like there's nothing left to lose)
   C'est donc ici que sera présentée l'histoire de votre personnage. Que ce soit en journal intime, anecdote, en "je" ou en "il/elle", en description, texte narratif ou autre moyen, le tout devra faire 25 lignes minimum. Nous souhaitons vraiment connaitre votre personnage et toujours est il mieux de détailler pour établir des liens après la validation. Bonne chance!
   

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THE BACKSTAGE.
   PSEUDO/PRENOM Emilie, mais connue comme Infinite sur le web   
   AGE j'aime les secrets   
   COMMENTAIRE le forum m'avait manqué, ça faisait trop longtemps   

Elle n'aurait pas du être là. Elle devait partir mais quelques paroles l’avaient retenu. Des mots qui auraient pu être anodin pour toute personne. Mais pas elle. « On devrait peut-être lui dire un jour ? » Elle avait tilté. Elle s'était arrêtée, son sac sur l'épaule. Dire quoi, à qui ? Elle s'était retourné et avait écouté, à l'abri des regards. Elle avait ce mauvais pressentiment, celui l'informant qu'elle était concernée. « Tu sais qu'on ne peut pas. On a choisi il y a des années de ne rien dire, comment réagirait-elle après tout ça ? » Son oncle avait prononcé ces paroles. Elle frémit. Quel secret ? Quel mensonge ? Sa curiosité maladive la poussait à rester écouter. Elle n'aurait pas du, mais tous ses sens étaient aux aguets. Elle était fébrile et pleine d’appréhension. C'était comme lors de ses investigations pour le XXXX. L'excitation de percer le secret, de découvrir la vérité, avoir le savoir, amener les gens à dire ce qu'ils savent, ce qu'ils dissimulent. Elle était pire qu'une enquêtrice de la police dans ces cas là. Elle était intrusive au possible. « Mais, elle va se marier Eddard. Elle ne peut pas continuer à croire que nous sommes sa famille. » « Nous sommes sa famille. Maria, tu as élevé cette fille. Tu lui a donné le sein, tu lui a donné des manières. Paul a été tout autant son père. Ce n'est pas une bonne femme qui a abandonné sa gosse qui doit s'intéresser à son mariage. » La main sur la poignée, Deirdre était figée. Ce qu'elle entendait sonnait faux. Dans son cœur du moins. Elle ne percevait aucun mensonge dans la voix de son oncle. Mais elle ne voulait pas le croire. La curiosité était un vilain défaut. On ne cessait de lui répétait cela. Maintenant, elle comprenait pourquoi. Le choc était brutal. A quelques semaines de son mariage, elle ne s'attendait pas à ça. Elle ne s'était jamais attendu à ça. De toute sa vie. Elle avait une soeur. Rosie, qu'elle aimait et qui l'aimait en retour. Un lien indénouable. Et elle avait eu un père. Un homme bon et aimant qui l'avait chéri même dans la maladie. Et Maria était sa mère, la chaire de sa chaire. Alors pourquoi l'idée que cette famille ne soit pas la sienne lui semblait-elle si réelle ? « On ne lui dira rien, un point c'est tout. » Sur ces mots, Eddard ouvrit la porte. C'est une Moses éteinte, figée dans le marbre, qu'il trouva. Elle sortit de sa torpeur et regarda cette homme qu'elle aurait juré être de sa famille. Maintenant, qu'était-il ? Un étranger. « Qu'est-ce que- » « Yuri. Mon dieu, chérie, ce n'est pas ce que tu crois. » Cette phrase, elle l'avait tapé des milliers de fois dans ses articles pour décrire des scènes qu'elle rendait plus dramatique. L'entendre lui semblait étrange. Rien de tout cela ne semblait normal. Et sa mère fit un pas vers elle. Deirdre s'éloigna. C'était sa vie qu'on retournait soudain. Le sol n'était plus. Le ciel s'inversait. Le haut devenait le bas. La tête lui tournait. Elle se fiançait et découvrait que sa vie, tout ce qu'elle avait construit n'était qu'un mensonge. Et ça faisait mal. C'était un coup de poignard. C'était le vide qui s'ouvrait sous ses pieds. Elle se sentait mal. Elle ne voyait que des visages flous, devant ses yeux. Elle ne voulait pas savoir. Elle ne voulait pas comprendre. « Ma chérie, je peux tout t'expliquer... » Non, non elle ne pouvait et ne pourrait pas justifier un mensonge de vingt-six ans d'existence. Et Deirdre n'était pas prête à accepter. Pas comme ça. « Vous n'êtes que des enfoirés de menteurs.. » Elle était folle de rage. C'était un tsunami qui se déversait en elle. Elle voulait taper contre les murs. Hurler contre sa mère, son oncle et même sa sœur. Étaient-ils tous au courant ? Depuis le début ? Elle était perdue dans un fouillis de ressentiment. Elle fit encore deux pas en arrière. Tout ce qu'elle avait fait et dit avait-il encore un sens maintenant ? Elle tourna le dos puis parti en courant dehors, sans se retourner, en claquant la porte. Elle ne savait qu'une chose, elle voulait savoir qui elle était vraiment.

Elle n'était pas à l'aise. Malgré les mails échangés ces dernières semaines, elle ne savait que très peu de chose sur Lui. Un nom, une adresse, un age, un style de vie. Rien de plus. Elle ne savait même pas à quoi il ressemblait jusqu'à présent. Elle ne savait qu'une chose, il n'avait plus les moyens de payer son appartement et préférait une collocation plutôt que de demander de l'aide. Elle avait aimé ça. C'est ce qui l'avait d'abord attiré d'ailleurs. Sa débrouillardise. Elle se disait qu'elle n'aurait rien à attendre de lui, dans ce cas. Et elle n'était pas du genre à attendre quoi que ce soit de qui que ce soit. Elle sonna à la porte finalement. Elle ne savait pas ce qu'elle allait pouvoir lui dire. Autre chose qu'un simple bonjour. Elle n'avait jamais fait ça, vivre avec quelqu'un. Hormis sa famille. Mais on sait tous que ça n'a rien à voir. De l'autre côté de la porte, elle entendait des sons, des pas, des verres qui s'entrechoquent. Il y avait quelqu'un, bien qu'elle soit en retard. La porte s'ouvrit. Elle ne sut où poser le regard. Sur l'appartement en désordre qu'elle apercevait. Pour les yeux bleus intenses de l'homme qui lui ouvrait la porte. Où bien son torse nu. Ou encore la jolie blonde en tenue légère qui enfilait son jean derrière. L'homme resta un instant muet, surement surprit. Puis, un sourire se composa et il éclata de rire. Moses savait encore moins comment réagir. « Vous êtes Moses Wright, c'est ça ? Hum... Milo Sandford. Je ... heuu... j'avais un doute sur l’horaire et... » La blonde vint l'interrompre en l'embrassa sans gêne. Du coin de l'oeil, il regardait Deirdre avec un regard mi-amusé, mi-gêné. Elle n'avait pas prévu cela. « On se voit demain bébé, c'était génial. Salut madame. » Elle avait prononcé ces deux derniers mots avec une pointe de méchanceté volontaire. Moses s'écarta de son chemin, un sourire en coin. Était-ce vraiment ici qu'elle s'installait ? « Je crois que je dérange, non ? » « Non, non, surtout pas. Je- Je vais faire un rapide ménage. » Il lui fit signe d'entrer et elle ne se fit pas prier. En tenant son sac à la main, elle laissa son regard analyser la pièce. Elle avait droit à une piaule plus qu'un appartement. Des bouteilles de bière trainaient de-ci, de-là. Les vêtements traînaient un peu partout quant à où. La vaisselle datait surement d'il y a deux jours, voir trois. Cet endroit n'était pas d'un grands confort et elle se demandait si sa chambre avait été épargnée par le déluge. « Je ne vous attendez pas si tôt. » « C'est drôle, parce que je suis en retard. » Elle l'entendit rire. Riait-il toujours ? Elle ne se trouvait pas spécifiquement risible. Elle reporta son attention sur le jeune homme. Beau spécimen. Policier basique. Corps de sportif, cicatrices, trace de coup, jean délavé et veste en cuir laissé sur une chaise. Une arme à feu surement caché sous l'oreiller ou dans le tiroirs de la table de chevet. Ce n'était pas la première fois qu'elle côtoyait des 'flics'. Elle avait la fâcheuse tendance à les énerver au plus haut point à poser des centaines de questions. Il lui faudrait se retenir pour cette fois. « Alors, hum, Moses ? Comment allez-vous ? Vous n'avez pas de cartons ? Pas de valises ? » « Le tout arrive demain, surement en début d’après-midi. J'espère que ça ne gênera pas vos... plans pour la journée. » Elle pensait bien évidemment à la possibilité qu'il voit encore son 'bébé' et qu'elle empiète sur une partie de jambes en l'air. « Oh, non, non, pas du tout. C'est pour vous, je craignais que vous n'ayez eu un problème à l'aéroport. » Il était gentil. Pas égressif, gentil. « J'ai l’habitude de me contenter de peu, ça devrait aller pour une nuit. D'ailleurs, je propose trois chose Milo. Qu'on se tutoies, pour commencer. Ensuite que vous enfiliez un tee-shirt. La vue est sympa mais vous n'êtes pas mon genre. Enfin, je propose de découvrir ma chambre. » Il la regarda un instant surpris puis sourit. « D'accord pour te tutoyer, j'attendais que ça. Et ne dis pas de mensonge, je suis le genre de tout le monde. Mais soit, je vais m'habiller. Et pour ta chambre, elle n'attend que toi. » Un homme fier et surement un peu narcissique. Définitivement pas son genre. Néanmoins, il avait de quoi faire rire. Il enfila un tee-shirt et l'invita à la suivre. Elle s'attendait au pire pour sa chambre, pour tout dire. Elle fut étonnée en ouvrant la porte. La pièce était très lumineuse. Propre aussi. Le lit fait, le vent s'infiltrant par la fenêtre ouverte, faisant voler les rideaux blanc. Une commode vide et une armoire en bois noire. Elle aimait cette pièce. « J'espère qu'elle te plait, j'ai tenté de la ranger et l’aménager un peu. » Il avait bien fait.
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Spoiler:

ma grenouille   
Bienvenue parmi nous et sans aucune hésitation je dis Stroup.    

Ça fait tellement longtemps que je n'ai pas vu Stroup sur un forum, que je votre aussi pour elle.  
Bienvenue parmi nous. 

Emiliechou.   
Stroup te va super bien et ça colle tellement au personnage.   
Bienvenue parmi nous.

Bienvenue   

Le prénom + Jessica    
Bienvenue   

HAAAAAA EMI + STROUP, duo gagnant!     
rebienvenue à woodley mills du coup!
j'adore le perso, je vais essayer de penser à un lien   

Bienvenue ici